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Chateau à vendre à Saint-Astier (24110) - Dordogne

280 m² - 10 pièces - 6 chbres - ext. 3,37 ha

280 m² - 10 pièces - 6 chbres - ext. 3,37 ha

499 900 €

Référence : A32226BLO24

  • 280 m2
  • 3,37 ha
  • 10 pièces
  • 6 chambres
  • 2 salles de bains

* les mesures en m² sont citées ici à titre indicatif

Un petit Chateau à taille humaine

  • 280 m2
  • 3,37 ha
  • 10 pièces
  • 6 chambres
  • 2 salles de bains

* les mesures en m² sont citées ici à titre indicatif

Un petit chateau du 17 ième à taille humaine , qui a été reconstruit sur des murs moyenâgeuses. Surplombant un charmant village très pittoresque du Périgord. L'orientation est plein sud les jardins donnent également coté soleil. Probablement que ce petit chateau est un des rares dont toutes la surface habitable est de plein pied. La disposition des différents bâtiments est telle qu’elles forment une belle cour intérieur laquelle est délimité au nord par une paroie rocheuse . Les bâtisseurs de ce bien exceptionnel avaient fait preuve de bon sens. L’accès à la cour et l’entrée se font par un porche surmonté d'un pigeonnier. Une tour ronde du 15 ième siècle divise l'habitation principale de celle du gardien. La surface habitable est de 212 m2 pour l’habitation principale et de 68 m2 pour le logement du gardien. Les vastes caves et la grange cumulent une surface d’environ 160 m2. La plus grande partie des 33680 m2 du terrain attenant sont boisée et demande aucun entretien.
Situé au Nord de Saint-Astier, la commune de Saint-Aquilin s’étend sur 2235 hectares, dont la moitié sont couverts de forêts aux essences mélangées (châtaigners, pins, chênes etc .). Saint-Aquilin compte 483 habitants depuis son dernier recensement de la population et est entourée par les communes de Chantérac, Segonzac, Léguillac de l’Auche et Saint-Astier.


De nombreux ruisseaux alimentent le Salembre qui prend sa source au bas du hameau de Chantepoule et qui traverse la commune en son milieu. On compte plus de 25 sources claires et abondantes dans la commune.


Saint-Aquilin tient son nom d’un ermite, ami et disciple de Saint-Astier qui évangélisa la région au 6ème siècle. La commune conserve aujourd’hui toute la douceur d’une campagne aux paysages variés, parsemés de nombreux hameaux, agréables à découvrir en toutes saisons. Le bourg, blotti au creux d’un vallon qui s’ouvre sur le Salembre, est aussi accroché aux flancs de la colline. Il est coiffé par le château du Roc qui domine un ensemble de belles maisons anciennes.


L’église, édifiée au 12ème siècle, fut détruite et sa reconstruction remonte au 15ème siècle. L’édifice se compose de nef de trois travées que suit un chœur carré. D’après la coutume du midi de la France, on a logé entre les contreforts, qui font une importante saillie, des chapelles latérales. Tout le voûtement consiste en croisées d’ogives avec des liernes. La première travée porte le clocher : on a donc réservé un passage circulaire dans sa voûte, pour les cloches. A l’est, le poids du clocher est supporté par un arc brisé très épais. Il n’y a de chapelle latérale qu’au nord, le mur sud porte un épaississement important pour loger la vis d’accès au clocher. Les deux travées suivantes sont semblables, mais elles sont encadrées de chapelles au nord et au sud. Quant au chœur, ses murs goutterots sont ornés chacun de deux arcs d’applique fort épais, en plein cintre.


La tradition des sonnailles : L’église de Saint-Aquilin dispose encore de cordes pour faire sonner les trois cloches. À l’heure de l’automatisation des sonneries, il est encore possible d’actionner Sainte-Eutrope, la grosse cloche qui date de 1701, Marie, installée en 1850, et la petite Charlotte, arrivée en 1890. Et, depuis plus de trois siècles, les habitants du village ont l’habitude de se retrouver à l’église, chaque soir, durant la période de l’Avent, pour actionner ces fameuses cloches. Et une des plus vieilles associations du village, Les Amis de Saint-Aquilin, veille à perpétuer depuis quatre ans cette tradition des sonnailles, laquelle était en train de disparaître petit à petit. C’est donc un peu avant 20 heures que, chaque soir entre la Sainte Lucie et Noël, jeunes et anciens se relayent pour tirer sur les trois cordes, chacun souhaitant contribuer au tumulte de Sainte-Eutrope, Marie et Charlotte.


Simples habitants ou curieux, de toutes origines, toutes langues mêlées (français, occitan, anglais, néerlandais), convergent ainsi vers Saint-Aquilin pour virevolter en s’accrochant aux cordes. Cet étonnant ballet d’un autre âge constitue aussi l’âme du village. Les trois cloches, le reste de l’année, rythment comme ailleurs les joies et les peines de la communauté. Mais cette tradition a bien failli s’arrêter il y a quelques années. En effet, l’état des pièces assurant la suspension de Saint-Eutrope dans le carillon était tel que la cloche menaçait de s’abattre dans la nef. Spécialiste nationale, la maison Bodet, située dans le Maine-et-Loire, a proposé de restaurer la cloche par soudure. Le dimanche 12/12/2010 restera dans les annales de la commune de St-Aquilin. Ce jour a en effet marqué l’aboutissement d’une période très active de démarches pour la remise en état du campanaire de l’Eglise. Tous les efforts fournis pour la restauration des 3 cloches, St Eutrope (datant de 1701, 584 kilos), Marie (de 1890 bourdon de 1 250 kg) ainsi que l’électrification de Charlotte (de 1895, 380 kg), furent récompensés par le succès de la fête célébrée ce dimanche 12 décembre où nombre d’amis et de fidèles s’étaient rassemblés pour assister à la bénédiction de la cloche St Eutrope. Petits et grands peuvent donc encore aujourd’hui continuer, lors de ces soirées de décembre, à expérimenter la sonnerie des cloches à l’ancienne : une expérience rare et amusante !


Sur les chemins de randonnées balisés, ouverts aux marcheurs, coureurs, vététistes ou cavaliers, on peut découvrir au hasard des promenades les traces du peuplement gaulois : dolmen de Peyreburne, tumulus de Ventadour, cluzeau de fenêtre etc. De belles demeures jalonnent les collines peu élevées, séparées par des ruisseaux qui forment deux principales vallées : la vallée du Salembre et la vallée du Noir.


En 1874, messieurs Galy De Lestrade De Conti et Ernest Guiller décidèrent de faire des fouilles au dolmen Peyrebrune. Ces recherches firent découvrir des objets prouvant que l’histoire de ce village remonte à la période néolithique, au moment où ces mégalithes composés de grands blocs de pierres furent construits. Ce dolmen est placé dans les bois, sur la colline qui domine au nord ouest le château de Belet, à droite de la route de Saint-Astier à Segonzac, et à une distance égale du bassin de l’Isle et de celui de la Dronne. Ce dolmen se compose d’une table et de six supports en grès ferrugineux et calcaire siliceux. Il est orienté du nord-est au sud-ouest. Au sud-ouest paraît avoir été placée l’entrée principale, qui était fermée par de petits blocs de pierre. La table repose sur ses supports latéraux mais, probablement par suite de tassements et d’efforts exercés sur elle par la végétation, elle a quitté son aplomb en s’inclinant vers l’entrée.


De nombreux vacanciers viennent se reposer à Saint Aquilin, dans un environnement accueillant, où la vie associative ajoute une note de convivialité au travers de nombreuses manifestations qui sont organisées tout au long de l’année. Selon une tradition millénaire, on vient à Saint-Aquilin depuis loin, de la Sainte-Lucie (Fête de la lumière) jusqu’au soir de Noël, faire sonner les trois cloches : Saint Eutrope, Marie et Charlotte.

Un petit chateau du 17 ième à taille humaine , qui a été reconstruit sur des murs moyenâgeuses. Surplombant un charmant village très pittoresque du Périgord. L'orientation est plein sud les jardins donnent également coté soleil. Probablement que ce petit chateau est un des rares dont toutes la surface habitable est de plein pied. La disposition des différents bâtiments est telle qu’elles forment une belle cour intérieur laquelle est délimité au nord par une paroie rocheuse . Les bâtisseurs de ce bien exceptionnel avaient fait preuve de bon sens. L’accès à la cour et l’entrée se font par un porche surmonté d'un pigeonnier. Une tour ronde du 15 ième siècle divise l'habitation principale de celle du gardien. La surface habitable est de 212 m2 pour l’habitation principale et de 68 m2 pour le logement du gardien. Les vastes caves et la grange cumulent une surface d’environ 160 m2. La plus grande partie des 33680 m2 du terrain attenant sont boisée et demande aucun entretien.


Description
Entrée 12 m2

Salon 41 m2
Chambre 13 m2
Chambre 7 m2
Chambre 26 m2
Salle à manger m2
Cuisine 17 m2
Chambre 48 m2
Salle douche WC 3 m2
Salle de bains, WC, machine à laver, 4,2 m2.
Tout à l’égout

212 m2

Cave 1 : 44 m2
Cave 2 : 57 m2
Cave 3: 14 m2
Cave 4: 11m2 x 2 niveaux

137 m2

Logement du gardien

Bedroom 11,4 m2
Bathroom 6 m2
Kitchen 22 m2
Salon 17 m2
Bedroom 11,8 m2

68 m2

Barn 38 m2 plus pigeonnier 10 m2

Toitures et charpentes en bon état.


------
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : https://www.georisques.gouv.fr

Lire la description détaillée

GÉNÉRAL Exclusivité LEGGETT Immobilier

Référence A32226BLO24

Etat Habitable

Types de bien Chateau
Maison de Vacances
Maison de Campagne
Maison familiale

Description

Un petit chateau du 17 ième à taille humaine , qui a été reconstruit sur des murs moyenâgeuses. Surplombant un charmant village très pittoresque du Périgord. L'orientation est plein sud les jardins donnent également coté soleil. Probablement que ce petit chateau est un des rares dont toutes la surface habitable est de plein pied. La disposition des différents bâtiments est telle qu’elles forment une belle cour intérieur laquelle est délimité au nord par une paroie rocheuse . Les bâtisseurs de ce bien exceptionnel avaient fait preuve de bon sens. L’accès à la cour et l’entrée se font par un porche surmonté d'un pigeonnier. Une tour ronde du 15 ième siècle divise l'habitation principale de celle du gardien. La surface habitable est de 212 m2 pour l’habitation principale et de 68 m2 pour le logement du gardien. Les vastes caves et la grange cumulent une surface d’environ 160 m2. La plus grande partie des 33680 m2 du terrain attenant sont boisée et demande aucun entretien.
Situé au Nord de Saint-Astier, la commune de Saint-Aquilin s’étend sur 2235 hectares, dont la moitié sont couverts de forêts aux essences mélangées (châtaigners, pins, chênes etc .). Saint-Aquilin compte 483 habitants depuis son dernier recensement de la population et est entourée par les communes de Chantérac, Segonzac, Léguillac de l’Auche et Saint-Astier.


De nombreux ruisseaux alimentent le Salembre qui prend sa source au bas du hameau de Chantepoule et qui traverse la commune en son milieu. On compte plus de 25 sources claires et abondantes dans la commune.


Saint-Aquilin tient son nom d’un ermite, ami et disciple de Saint-Astier qui évangélisa la région au 6ème siècle. La commune conserve aujourd’hui toute la douceur d’une campagne aux paysages variés, parsemés de nombreux hameaux, agréables à découvrir en toutes saisons. Le bourg, blotti au creux d’un vallon qui s’ouvre sur le Salembre, est aussi accroché aux flancs de la colline. Il est coiffé par le château du Roc qui domine un ensemble de belles maisons anciennes.


L’église, édifiée au 12ème siècle, fut détruite et sa reconstruction remonte au 15ème siècle. L’édifice se compose de nef de trois travées que suit un chœur carré. D’après la coutume du midi de la France, on a logé entre les contreforts, qui font une importante saillie, des chapelles latérales. Tout le voûtement consiste en croisées d’ogives avec des liernes. La première travée porte le clocher : on a donc réservé un passage circulaire dans sa voûte, pour les cloches. A l’est, le poids du clocher est supporté par un arc brisé très épais. Il n’y a de chapelle latérale qu’au nord, le mur sud porte un épaississement important pour loger la vis d’accès au clocher. Les deux travées suivantes sont semblables, mais elles sont encadrées de chapelles au nord et au sud. Quant au chœur, ses murs goutterots sont ornés chacun de deux arcs d’applique fort épais, en plein cintre.


La tradition des sonnailles : L’église de Saint-Aquilin dispose encore de cordes pour faire sonner les trois cloches. À l’heure de l’automatisation des sonneries, il est encore possible d’actionner Sainte-Eutrope, la grosse cloche qui date de 1701, Marie, installée en 1850, et la petite Charlotte, arrivée en 1890. Et, depuis plus de trois siècles, les habitants du village ont l’habitude de se retrouver à l’église, chaque soir, durant la période de l’Avent, pour actionner ces fameuses cloches. Et une des plus vieilles associations du village, Les Amis de Saint-Aquilin, veille à perpétuer depuis quatre ans cette tradition des sonnailles, laquelle était en train de disparaître petit à petit. C’est donc un peu avant 20 heures que, chaque soir entre la Sainte Lucie et Noël, jeunes et anciens se relayent pour tirer sur les trois cordes, chacun souhaitant contribuer au tumulte de Sainte-Eutrope, Marie et Charlotte.


Simples habitants ou curieux, de toutes origines, toutes langues mêlées (français, occitan, anglais, néerlandais), convergent ainsi vers Saint-Aquilin pour virevolter en s’accrochant aux cordes. Cet étonnant ballet d’un autre âge constitue aussi l’âme du village. Les trois cloches, le reste de l’année, rythment comme ailleurs les joies et les peines de la communauté. Mais cette tradition a bien failli s’arrêter il y a quelques années. En effet, l’état des pièces assurant la suspension de Saint-Eutrope dans le carillon était tel que la cloche menaçait de s’abattre dans la nef. Spécialiste nationale, la maison Bodet, située dans le Maine-et-Loire, a proposé de restaurer la cloche par soudure. Le dimanche 12/12/2010 restera dans les annales de la commune de St-Aquilin. Ce jour a en effet marqué l’aboutissement d’une période très active de démarches pour la remise en état du campanaire de l’Eglise. Tous les efforts fournis pour la restauration des 3 cloches, St Eutrope (datant de 1701, 584 kilos), Marie (de 1890 bourdon de 1 250 kg) ainsi que l’électrification de Charlotte (de 1895, 380 kg), furent récompensés par le succès de la fête célébrée ce dimanche 12 décembre où nombre d’amis et de fidèles s’étaient rassemblés pour assister à la bénédiction de la cloche St Eutrope. Petits et grands peuvent donc encore aujourd’hui continuer, lors de ces soirées de décembre, à expérimenter la sonnerie des cloches à l’ancienne : une expérience rare et amusante !


Sur les chemins de randonnées balisés, ouverts aux marcheurs, coureurs, vététistes ou cavaliers, on peut découvrir au hasard des promenades les traces du peuplement gaulois : dolmen de Peyreburne, tumulus de Ventadour, cluzeau de fenêtre etc. De belles demeures jalonnent les collines peu élevées, séparées par des ruisseaux qui forment deux principales vallées : la vallée du Salembre et la vallée du Noir.


En 1874, messieurs Galy De Lestrade De Conti et Ernest Guiller décidèrent de faire des fouilles au dolmen Peyrebrune. Ces recherches firent découvrir des objets prouvant que l’histoire de ce village remonte à la période néolithique, au moment où ces mégalithes composés de grands blocs de pierres furent construits. Ce dolmen est placé dans les bois, sur la colline qui domine au nord ouest le château de Belet, à droite de la route de Saint-Astier à Segonzac, et à une distance égale du bassin de l’Isle et de celui de la Dronne. Ce dolmen se compose d’une table et de six supports en grès ferrugineux et calcaire siliceux. Il est orienté du nord-est au sud-ouest. Au sud-ouest paraît avoir été placée l’entrée principale, qui était fermée par de petits blocs de pierre. La table repose sur ses supports latéraux mais, probablement par suite de tassements et d’efforts exercés sur elle par la végétation, elle a quitté son aplomb en s’inclinant vers l’entrée.


De nombreux vacanciers viennent se reposer à Saint Aquilin, dans un environnement accueillant, où la vie associative ajoute une note de convivialité au travers de nombreuses manifestations qui sont organisées tout au long de l’année. Selon une tradition millénaire, on vient à Saint-Aquilin depuis loin, de la Sainte-Lucie (Fête de la lumière) jusqu’au soir de Noël, faire sonner les trois cloches : Saint Eutrope, Marie et Charlotte.

Un petit chateau du 17 ième à taille humaine , qui a été reconstruit sur des murs moyenâgeuses. Surplombant un charmant village très pittoresque du Périgord. L'orientation est plein sud les jardins donnent également coté soleil. Probablement que ce petit chateau est un des rares dont toutes la surface habitable est de plein pied. La disposition des différents bâtiments est telle qu’elles forment une belle cour intérieur laquelle est délimité au nord par une paroie rocheuse . Les bâtisseurs de ce bien exceptionnel avaient fait preuve de bon sens. L’accès à la cour et l’entrée se font par un porche surmonté d'un pigeonnier. Une tour ronde du 15 ième siècle divise l'habitation principale de celle du gardien. La surface habitable est de 212 m2 pour l’habitation principale et de 68 m2 pour le logement du gardien. Les vastes caves et la grange cumulent une surface d’environ 160 m2. La plus grande partie des 33680 m2 du terrain attenant sont boisée et demande aucun entretien.


Description
Entrée 12 m2

Salon 41 m2
Chambre 13 m2
Chambre 7 m2
Chambre 26 m2
Salle à manger m2
Cuisine 17 m2
Chambre 48 m2
Salle douche WC 3 m2
Salle de bains, WC, machine à laver, 4,2 m2.
Tout à l’égout

212 m2

Cave 1 : 44 m2
Cave 2 : 57 m2
Cave 3: 14 m2
Cave 4: 11m2 x 2 niveaux

137 m2

Logement du gardien

Bedroom 11,4 m2
Bathroom 6 m2
Kitchen 22 m2
Salon 17 m2
Bedroom 11,8 m2

68 m2

Barn 38 m2 plus pigeonnier 10 m2

Toitures et charpentes en bon état.


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Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : https://www.georisques.gouv.fr

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LOCALISATION

Ville Saint-Astier

Département Dordogne

Région Aquitaine

Emplacement Village

Quartier et environnement du bien

Commerces, restaurants, écoles, services, loisirs, culture... avec les temps de trajet

PRIX - FINANCES

Prix de vente 499 900 €

Honoraires charge vendeur

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Taxe foncière environ 1 471 €

Financement à partir de
0 €/mois*

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Bjoern LOEWE

Conseiller Leggett

siret : 350510905

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Classe Energie

DPE non requis.

Mensualités de financement 0 € / mois

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Diagnostic de Performance Energétique

DPE non requis.

En application de l'article R. 134-1 du Code de la Construction et de l'Habitation, il n’y a pas obligation de fournir de Diagnostique de Performance Energétique (ci-après DPE) dans les cas suivants :

  • bâtiments dépourvus de système fixe de chauffage (et ne disposant pas de dispositif de refroidissement des locaux) ;
  • bâtiments indépendants de SHON inférieure à 50 m² ;
  • bâtiments à usage agricole, artisanal ou industriel, autres que les locaux servant à l'habitation ;
  • bâtiments servant de lieu de culte ;
  • monuments historiques classés ou inscrits à l'inventaire en application du code du patrimoine ;
  • bâtiments ou parties de bâtiments résidentiels, destinés à être utilisés moins de 4 mois par an ;
  • constructions provisoires prévues pour une durée d'utilisation égale ou inférieure à 2 ans.

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Prix de vente €
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Taux effectif global
Durée de l’emprunt

Mensualités à partir de : 5 201 € / mois *

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Dont estimation
frais de notaire

104 800 €

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